Né à Pont-à-Celles en 1963, papa de David et Aurore, Olivier Papleux s’est remarié avec une Sénégalaise en 2008. Une petite fille, fruit de cette union, vient de voir le jour. Licencié en mathématiques, Olivier a hérité de ses parents l’amour de l’art et le besoin de créativité.
Pour lui, plus qu’un souci très humain d’immortalité, l’art et la création sont un moyen de pénétrer à l'intérieur de soi-même, de crier ses peines ou ses rages, de chanter ses joies et ses espoirs, de vivre ses rêves, de réécrire quelques histoires de sa vie…
En 1996, à l’occasion de la Foire du Livre à Bruxelles, Olivier Papleux a eu la joie de voir édité son premier roman.
Le Petit Lézard Vert (Éditions Dricot), une petite fille de huit ans raconte avec simplicité ses émois, ses élans et sa découverte du monde adulte.
1999 verra la sortie de son deuxième roman,
Deux Allers Simples (Éditions Dricot), une histoire d’amitié particulière entre un Pont-à-Cellois et une Iranienne.
En septembre 2001, avec Voyage au bout de nous-même il obtient le deuxième prix du Concours de Nouvelles organisé dans le cadre du premier
Festival Couleur du Monde à Pont-à-Celles.
Depuis quelques années, dans le cadre de
Culture Commune, à Pont-à-Celles, il propose la
Poésie photocomposée; cette technique plus "vi²suelle" que l'édition permet aux textes de côtoyer peintures, gravures, sculptures, de s'harmoniser à elles, d'y ajouter une dimension littéraire essentielle
.
En mars 2006, Olivier et son frère Pierre réalisent un des rêves de leur maman: être réunis lors d'une exposition familiale commune. Les peintures d'Anne, les photographies de Pierre et les poésies d'Olivier rassemblées offrent une sensation fascinante et paradoxale. Comment le besoin de créer et l'amour du beau peuvent-ils se transmettre et évoluer d'une manière si manifestement éclectique ?