mardi 8 juin 2010

Marion Coevoet, un voyage passionné

Depuis toute petite, la peinture est un de mes passe-temps favoris et depuis une dizaine d'années, l'acrylique me permet de voyager à travers les cultures, les paysages, les couleurs,... une vraie passion !


("Plein désert": 60x80cm - ci-dessous)





("Femme africaine": 50x50cm - ci-dessous)







Ma devise ? Peindre ce qui me plaît et me faire plaisir...

Anja Crommelynck: schilderij en speleologie

In 2006, op 32-jarige leeftijd begon ik aan een lang geanticipeerde schildersopleiding in avondonderwijs in Brussel (Sint Lukas). Een jaar later kreeg ik het idee om mijn nieuwste passie met die andere favoriete bezigheid te combineren: speleologie.
Met de hulp van mijn speleoclubgenoten bracht ik in september 2007 een eerste uniek speleo-kunstproject tot stand, dat deze twee domeinen verenigde.
Explositie bracht de sportieve bezoeker via smalle gangen, touwen en klauterwerk naar schilderijen die de confrontatie aangingen met hun omgeving in het grotsysteem van de Réseau de Frênes in Lustin. Vanuit Explositie ontstond er een tweede grotproject: "Art-Cavité" in de grot van het Kasteel van Floreffe en een derde: "Grotschilderschijnsel" in de kloof-grot van Comblain-au-Pont, dat ook voor de minder sportief aangelegde gegadigden perfect te bezoeken was.
De drie tentoonstellingen kregen ruime media aandacht (RTBF en Arte) en werden op verschillende wijzen gefotografeerd en gefilmd. De verschillende filmpjes en talrijke foto's zijn te bewonderen op www.anjacro.be.
Voor Art'éropolis koos ik drie werken uit die figureerden in de verschillende tentoonstellingen. De bijbehorende foto's tonen aan voor welke context de werken gecreëerd werden, maar het zijn ook schilderijen die prima op zichzelf kunnen staan of zullen integreren/ contrasteren in een "nieuwe omgeving".

Xavier de Béthune, au-délà de la simple réalité

La photographie est une passion de famille, dont j’ai hérité grâce à un cadeau vers l’âge de 15 ans. Les nouveaux appareils numériques et les possibilités informatiques permettent de mélanger la photo originale avec des effets spéciaux qui permettent d’exprimer plus que la capture pure et simple de la réalité.
Les collages sont petit à petit devenus une marque de fabrique qui évolue au cours du temps.




Perrine Detober, une expérience de vie

"J’ai peint pendant une période de quelques mois à compter de juillet 2009 alors que je me remettais d’un burn out. Mes peintures ont servi d’illustrations pour un livre que j’ai écrit sur mon expérience de burn out.
Le style est abstrait et géométrique ; ce qui n’est pas le cas de toutes mes peintures. Celles-ci sont deux tableaux qui se répondent l’un l’autre. Des ronds et des rectangles, des couleurs et un mouvement de rebondissement."

Alda Greoli, la photo pour être avec les gens

La photo me permet d'être proche des gens que je rencontre et que je photographie. Je laisse les personnes jouer avec l'appareil quand c'est leur premier contact avec un appareil photos. Quand ce sont des moments, des instants saisis, c'est pour moi une manière d'être complètement avec les gens et le lieu et non un danger de distance.
L'appareil photo permet de regarder autrement la lumière, les décors, les couleurs afin de mieux vivre, de ressentir plus intensément comment chacune des personnes s'y inscrit.

Les photos exposées ont été prises au Népal ou en Inde, le long de chemins de trek dans des vallées non encore fréquentées par les touristes. Elles racontent des rencontres, des émotions, des rires et des sourires. Merci surtout aux personnes qui les ont permises et à la lumière de ces lieux.



Jan Franco: hoop voor de toekomst

Jan Franco (Brugge, °1965) is reeds dertig jaar gepassioneerd bezig met fotografie. Hij is een allround fotograaf maar legt zich vooral toe op reisfotografie en macrofotografie met een zeer lage scherptediepte.

Op Art’éropolis presenteert hij 2 werken.

Een natuurfoto getiteld “Samenhangend”.

Het toont 2 vuurjuffers in al hun schitterende details.
Het tweede werk is een kinderportret met als titel “Hoop voor de toekomst” dat gemaakt werd tijdens een terreinbezoek aan de partners van Wereldsolidariteit in Benin. Het wordt verkocht ten voordele van Wereldsolidariteit.

Bruno Hubert: c'est vous qui dites

Le moins qu'on puisse dire, c'est que Bruno Hubert est un artiste discret. Diplômé en arts graphiques de l'Ecole de Recherche Graphique de Bruxelles, voici tout juste vingt ans, il a poursuivi son travail sans vagues mais avec persévérance, en "dilettante", comme il dit. Sa discrétion, sa retenue, imprègne jusqu'à l'âme de ses œuvres puisqu'il renonce à les nommer. Mais il est prêt à adopter, à l'inverse, la dénomination que ses spectateurs auront formulée face à son travail...

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Herman Janssens, de Provence passie

Van jongsaf is Herman erg geïnteresseerd in schilderen en tekenen. Tijdens zijn middelbare opleiding volgt hij de richting beeldende kunsten aan het Pius-X instituut. Aansluitend gaat hij naar St-Lucas te Antwerpen waar hij kiest voor de richting grafisch ontwerper. In die opleiding werd veel aandacht geschonken aan waarnemingstekenen en tekenen naar levend model, wat zijn twee lievelingsvakken waren. In 1986 behaalde hij het diploma van grafisch ontwerper met onderscheiding. Aansluitend op deze opleiding volgde hij nog drie jaar avondschool, richting schilderkunst in de kunstacademie van Wilrijk.
Al van in zijn jeugdjaren is Herman gefascineerd door de Provence. Dit komt door de vele zomervakanties die hij met zijn ouders doorbracht in het zuiden van Frankrijk en de Cote d'Azur. Daar ontdekte Herman dat de zinderende warmte, de lichtinval, de landschappen en de kleurenpracht al zoveel schilders kon inspireren. Het is eigenlijk niet abnormaal dat bijna alle grote impressionisten deze regio bezochten om haar te vereeuwigen op doek.
Als Herman op reis gaat neemt hij zijn schetsboek mee om ter plekke herinneringen vast te leggen op papier. De techniek die hij meestal gebruikt is een gemengde techniek van acryl, olieverf en potlood. Eenmaal thuisgekomen gaat Herman deze schetsen omzetten naar schilderijen op doek. Maar de schetsen die hij ter plekke maakte dragen meestal de voorkeur weg bij de toeschouwer. Wellicht komt dit omdat de lichtinval ter plekke, het gevoel en de impressie in het werk vervat zitten. Herman kiest er bewust voor om geen realistische weergave van het landschap vast te leggen. De impressie, de lichtinval van dat moment en zijn gevoel ter plekke primeren in het werk.

Gino Marien: vlinders, een bron van inspiratie

Geboren in 1967 en van jongsaf gepassioneerd door de natuur in al zijn aspecten, mijn eerste stappen in de wereld van de fotographie is dan vanzelfsprekend de natuurfotografie van vlinders, hun kleuren en fragiele bouw zijn een onuitputtelijke bron van inspiratie, zij symboliseren het sterven en de wedergeboorte, de vlinder die uit zijn pop sluipt.


Patricia Martin ou la liberté d'émotion

Patricia Martin est née dans les Ardennes belges. En 1978, elle s'installe à Bruxelles pour suivre les études en arts plastiques. Son diplôme en poche, elle s'installe dans la capitale où elle travaille comme graphiste.
Sa peinture est figurative et subit de près les influences de son expérience graphique et de son parcours de vie.
La perception d’une image est intimement liée à l’histoire de l’individu qui la regarde, au moment où cela se passe, et à l’état d’esprit dans lequel le spectateur se trouve.
Dans son travail, Patricia laisse la liberté à l’émotion et à la réflexion. Le spectateur se retrouve face à une image dont le pinceau écrit son histoire. Un paysage imaginaire où le regard peut voyager, où l’œil peut se poser ou se balader. Le focus recadre l’espace, se fixe sur le détail qui l’interpelle et sa mémoire l’interprète.
Au quotidien, notre regard est de plus en plus rendu passif et dirigé au travers des écrans dont l’espace réduit, formate et impose «une» vision des choses. Prendre le temps de s’arrêter pour regarder devient un luxe dans ce monde bombardé d’images. Patricia invite à prendre le temps, elle se balade et s’évade. Son travail exprime sa proximité avec la nature qu’elle perçoit dans des formes féminines.
Pour voyager dans ses toiles: www.martinpatricia.jimdo.com



Olivier Papleux, peintre en mots.....

Né à Pont-à-Celles en 1963, papa de David et Aurore, Olivier Papleux s’est remarié avec une Sénégalaise en 2008. Une petite fille, fruit de cette union, vient de voir le jour. Licencié en mathématiques, Olivier a hérité de ses parents l’amour de l’art et le besoin de créativité.
Pour lui, plus qu’un souci très humain d’immortalité, l’art et la création sont un moyen de pénétrer à l'intérieur de soi-même, de crier ses peines ou ses rages, de chanter ses joies et ses espoirs, de vivre ses rêves, de réécrire quelques histoires de sa vie…
En 1996, à l’occasion de la Foire du Livre à Bruxelles, Olivier Papleux a eu la joie de voir édité son premier roman. Le Petit Lézard Vert (Éditions Dricot), une petite fille de huit ans raconte avec simplicité ses émois, ses élans et sa découverte du monde adulte.
1999 verra la sortie de son deuxième roman, Deux Allers Simples (Éditions Dricot), une histoire d’amitié particulière entre un Pont-à-Cellois et une Iranienne.
En septembre 2001, avec Voyage au bout de nous-même il obtient le deuxième prix du Concours de Nouvelles organisé dans le cadre du premier Festival Couleur du Monde à Pont-à-Celles.
Depuis quelques années, dans le cadre de Culture Commune, à Pont-à-Celles, il propose la Poésie photocomposée; cette technique plus "vi²suelle" que l'édition permet aux textes de côtoyer peintures, gravures, sculptures, de s'harmoniser à elles, d'y ajouter une dimension littéraire essentielle.
En mars 2006, Olivier et son frère Pierre réalisent un des rêves de leur maman: être réunis lors d'une exposition familiale commune. Les peintures d'Anne, les photographies de Pierre et les poésies d'Olivier rassemblées offrent une sensation fascinante et paradoxale. Comment le besoin de créer et l'amour du beau peuvent-ils se transmettre et évoluer d'une manière si manifestement éclectique ?

Annie Patureau: en solidarité avec le Sud

"La photo, pour rendre compte des richesses et de la beauté des peuples rencontrés, écrit Annie Patureau, mais aussi pour rendre hommage au courage des toutes ces femmes et de tous ces hommes qui doivent se battre au jour le jour, acceptant avec philosophie les conditions difficiles dans lesquelles ils doivent se démener, que se soit pour l'accès à l'eau, pour le transport des biens comme des personnes, ou encore pour la culture de leur petit lopin de terre."
Par ce témoignage, Annie entend leur rendre "ce que quelque part je leur prend en "prenant" une photo. Telle est ma démarche".
Annie Patureau, est déléguée CNE. Retrouvez son travail sur son blog: http://invitationauvoyage.naniepat.be/.

Thomas Rousseau a tant de choses à dire

Thomas Rousseau, dit Samoth, fait partie de ces hommes qui ont des choses à dire. Et qui attendent d'avoir mal pour les exprimer. Cela donne ces visages surexpressifs, ces regards désespérés, ces lèvres charnues, ces couleurs chaudes, malaxées, comme matière vive.

Samoth est de ces gens qui ont du talent, à revendre, mais ont peur de le galvauder. Pas question de s'inscrire dans une académie, même pour rompre la solitude du créateur; les profs, les perspectives, les harmonies risqueraient d'altérer la spontanéité dans laquelle il se défoule. A tort, ou à raison...


Samoth est un poète, qu'il l'admette ou non. Au-delà des coups de pinceau ou de couteau, sous les coulées des fusions, derrière les mille visages de la dame, se glissent des titres jolis, drôles, forts: "Capitulation", "Raoul le fromager", "Ida la bergère" ou "Chamboulpeine", "Le cabossé de la Jaguar", "Bonjour je suis nouveau ici", "L'incertitude poilu"- que l'on voit ici à gauche -, "Pélagie regarde un poisson cru"... Des titres qui en disent long.




Samoth est en recherche. Son esprit n'est jamais au repos. Il conçoit à l'heure cent idées, souvent bonnes, toujours folles. Il gère ses silences, moins timide qu'il n'y paraît, ou s'abandonne en flots de mots, trop longtemps contenues. Thomas regarde les gens, les visages, à travers ses grands yeux, si bleus. Et déborde de générosité, pas seulement quand il court les 20km de Bruxelles avec Solidarité Mondiale...

A découvrir sur:
samothomas.canalblog.com.

Ludwig Schack, en tegengewicht voor de snelheid

Ludwig Schack werd gevormd in de Kunstacademie van Aalst bij Luc De Roeck en werkt nog elke week in het Atelier voor Beeldende Kunsten in Dilbeek o.l.v. Nadia Vermeulen en bij het Kunstenaarscollectief van Jos Vanhenden in Lebbeke. Hij nam deel aan diverse groepstentoonstellingen en had solotentoonstellingen in Vlassenbroek, Brussel, Gent en Denderleeuw.
De traagheid en de stilte van het maken van en kijken naar kunstwerken is voor hem een noodzakelijk tegengewicht voor de snelheid van het dagelijkse leven en werk.



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